Sur le quai

« La maison de quartier est toujours ouverte.

Le soir, à partir de la porte de Ninove, on voit l’angle vitré et la lanterne verte du toit.

On pousse la porte, le hall est vaste et décoré de dessins d’enfants.

Il n’y a personne pour le moment.

En face, un escalier par lequel descendent des voix, à gauche, deux portes, et derrière ces portes, quelqu’un à qui parler quand ça ne va pas.

On toque, on entre, on s’assied.

Par la fenêtre, on voit un jardin, une pelouse, un arbre. »